Le secteur du bâtiment représente en France près de 43 % de la consommation énergétique et 20 % des émissions de carbone.
Dans les villes, les bâtiments existants, qu’ils soient anciens ou neufs, influencent directement le territoire, les ressources et la qualité de vie du public en France, tout en contribuant à la réduction du carbone à l’échelle urbaine, selon une étude menée sur la performance du bâti.
Les effets sur l’environnement sont nombreux : polluants intérieurs, COV, CO₂, humidité, particules fines… tout cela affecte directement la santé et le confort du public, en particulier dans les zones les plus denses où l’environnement est sous pression, à la vue des enjeux actuels mis en évidence par chaque étude sur le carbone et la durabilité énergétique, dans le passage vers une ville plus durable et un monde plus responsable.
Préserver un environnement sain devient alors une priorité, car la qualité de l’air, la gestion des ressources et la performance énergétique dépendent toutes de cet environnement fragile, dont chaque étude démontre l’importance pour le bien-être collectif et la vue d’ensemble sur la durabilité des villes, dans le passage vers un modèle urbain plus équilibré et responsable, à l’échelle de chaque quartier.
La ville écologique devient un modèle social, environnemental et de société, de lieu, où chaque construction, chaque lieu, chaque espace public et chaque espace de vie contribue à un bâtiment durable collectif, pensé pour le bien-être du public, la qualité de chaque espace, la préservation du cadre de vie et la gestion des ressources selon un modèle de durabilité cohérent et une vue globale du développement urbain, notamment à Paris.
Les bâtiments existants jouent un rôle essentiel dans cette transformation : leur rénovation et leur adaptation déterminent la réussite de la transition écologique et la valorisation durable des ressources, en suivant le modèle d’une ville responsable et une vue harmonieuse de l’aménagement du territoire, notamment à Paris.
Allier confort et économie d’énergie, c’est désormais possible grâce à l’exploitation des données issues de l’IoT.
Des solutions comme Navixis et la gamme de produits Nexelec s’inscrivent dans cette démarche : elles permettent de collecter, comprendre et agir sur les données pour faire des smart building de véritables acteurs de la transition énergétique, de véritables acteurs du confort et des services associés sur chaque territoire.
Le smart building offre une vue complète sur la performance énergétique, une vue détaillée du confort au quotidien et une vue globale des services dédiés aux occupants sur le territoire, positionnant les bâtiments comme de véritables acteurs de la durabilité et de la sécurité globale.
Le choix des matériaux utilisés dans ces projets est déterminant, car des matériaux durables et responsables favorisent la performance énergétique et la préservation du patrimoine urbain en France, tout en s’inscrivant dans une histoire de savoir-faire et d’innovation, suivant un modèle de construction durable, en France.
Intégrer les infrastructures existantes dans cette démarche permet de créer une continuité entre le passé et le futur, en faisant des ensembles existants, conçus avec des matériaux respectueux de l’environnement, les fondations d’une ville plus durable et plus équilibrée en France, en cohérence avec l’histoire urbaine du territoire, le modèle français de développement responsable et les occupants.
Le bâtiment représente à lui seul 43 % des consommations énergétiques et 20 % des émissions de gaz à effet de serre dans les espaces urbains du territoire.
Un constat qui en fait un acteur central de la transition énergétique et écologique, notamment dans les villes, où la concentration des activités accentue les besoins en énergie et engage directement la responsabilité du public dans chaque lieu de vie, de territoire et de construction, où cet engagement est pleinement matérialisé.
Chaque construction devient un levier essentiel de cette transition, reliant innovation, performance énergétique et respect de l’environnement, avec un impact clairement matérialisé dans la qualité du cadre urbain.
La construction urbaine s’impose comme un pilier majeur de la transformation des villes.
Chaque lieu, qu’il s’agisse de logements, de bureaux ou de magasins, devient un espace d’expérimentation pour repenser la consommation, l’efficacité énergétique, la sobriété écologique et la gestion de l’eau.
Les magasins, en tant qu’espaces ouverts au public, participent activement à cette mutation en intégrant des solutions plus durables et des pratiques responsables.
les efforts pour réduire ces consommations entraînent parfois des effets pervers : dans les villes, les bâtiments modernes, mieux isolés et plus hermétiques, piègent les polluants intérieurs (COV, CO₂, particules fines, humidité…) dans chaque espace de vie et de travail de chaque quartier, modifiant la matérialité même des environnements intérieurs.
Chaque espace devient alors un lieu clos où la circulation de l’air se réduit, limitant la qualité de ventilation nécessaire au bien-être des occupants dans le quartier et influençant la matérialité du confort perçu.
Résultat : si les performances énergétiques progressent, la qualité de l’air intérieur peut se détériorer, impactant directement le bien-être et la santé du public, en particulier dans les grandes villes où chaque espace de quartier est plus confiné et fortement sollicité, révélant les limites de la matérialité urbaine actuelle de ce siècle.
La vraie question n’est donc plus seulement comment construire des bâtiments durables, mais comment rendre les bâtiments existants plus durables, sains et favorables à la santé au cœur de chaque ville, pour répondre aux attentes du public et préserver son cadre de vie et sa configuration, y compris dans les magasins.
Cette démarche s’inscrit dans une véritable histoire urbaine, celle de l’évolution des pratiques de construction et de gestion du bâti.
Chaque ville écrit ainsi son histoire de la durabilité, où la santé, la performance et la responsabilité environnementale deviennent les piliers d’un futur équilibré, nourri par un imaginaire collectif tourné vers l’innovation et fondé sur l’étude des impacts urbains.
C’est dans la ville que se joue cet équilibre entre innovation, écologie et bien-être collectif, au cœur d’une démarche profondément écologique, adaptée aux enjeux de notre siècle, y compris dans les magasins.
Chaque ville doit devenir un modèle de transition écologique, où la qualité du bâti et la santé des habitants participent à une vision durable, responsable et écologique de la ville de demain, pensée pour le siècle actuel et façonnée par l’imaginaire du développement durable.
Cette ambition écologique redéfinit la manière de concevoir, de construire et de vivre dans la ville moderne, en phase avec les défis de ce siècle et l’évolution de notre imaginaire commun.
Les solutions Nexelec offrent aujourd’hui une réponse concrète à ce paradoxe.
Grâce à l’Internet des Objets (IoT), il devient possible de mesurer et de piloter en temps réel les conditions environnementales du bâtiment, notamment dans les villes, afin d’en évaluer l’impact sur la qualité de vie et la performance énergétique.
Les capteurs Nexelec collectent des données précises sur la température, l’humidité, le CO₂ ou les particules fines dans différents types de villes et de bâtiments, permettant de mieux comprendre l’impact des usages sur l’environnement et le confort intérieur.
Cette gestion technique intelligente (GTB) place le bâtiment au cœur d’une logique de performance globale : énergétique, environnementale et humaine, pensée pour la ville et orientée vers un défi commun de durabilité.
Dans chaque ville, chaque société, cette approche relie les bâtiments, les habitants, les infrastructures et le transport pour créer une ville plus résiliente, plus durable et plus centrée sur la qualité de vie écologique, soutenue par une vision technique précise et innovante.
Ce défi repose sur la capacité à allier technologie, performance et responsabilité environnementale, tout en préservant le patrimoine ancien et la configuration du tissu urbain.
Répondre à ce défi implique une coordination étroite entre les acteurs du territoire pour faire de la ville un modèle d’efficacité et d’équilibre durable, respectueux du bâti ancien et de la configuration architecturale locale.
La société devient un véritable écosystème écologique, où la performance du bâti et la maîtrise technique soutiennent la transition écologique et le bien-être collectif.
Cette dimension technique renforce la capacité des villes à conjuguer innovation, durabilité et qualité de vie.
Optimiser la consommation énergétique, à partir de la mesure des données, en ajustant les systèmes de chauffage, de ventilation ou d’éclairage selon les besoins, pour mieux répondre aux enjeux du monde actuel ;
Préserver la qualité de l’air intérieur, grâce à la mesure en temps réel, un enjeu majeur dans les grandes villes et dans un monde de plus en plus urbanisé ;
Améliorer le confort, la santé et la productivité des occupants grâce à un environnement plus sain, où chaque mesure permet d’agir avec précision ;
Anticiper les réglementations à venir et accompagner les bâtiments vers la conformité, en soutenant la transition énergétique des villes de demain grâce à la mesure continue des performances.
Les solutions Nexelec s’inscrivent dans cette vision de la performance énergétique : elles permettent aux bâtiments de réduire leur empreinte carbone tout en garantissant un air intérieur sain et un confort optimal pour le public, avec un effet direct sur le bien-être, la durabilité des espaces.
Cet effet mesurable traduit la volonté de concevoir des environnements plus intelligents.
Grâce à la donnée et à l’IoT, le paradoxe du bâtiment durable et sain devient un objectif atteignable, au bénéfice du bien-être et du confort public, où la performance énergétique, la santé et le confort ne s’opposent plus, mais se complètent dans une même logique publique de durabilité, des bâtiments.
Ce défi incarne la volonté de concilier innovation technologique et responsabilité environnementale.
Le défi du bâtiment durable ne réside plus seulement dans la réduction des consommations ou des émissions, mais dans la capacité à créer un lieu qui respire, s’adapte et favorise la santé de ses occupants. Un lieu véritablement responsable doit conjuguer efficacité énergétique, qualité de l’air, confort thermique, acoustique et visuel.
En réunissant technologie, données et intelligence collective, chaque étude permet de comprendre comment le bâtiment devient un organisme vivant, capable d’apprendre, d’évoluer et de maintenir un équilibre issu de l’étude des usages et des besoins réels, un équilibre vertueux entre écologie, innovation et bien-être, au cœur d’une étude continue de la performance et de la qualité de vie.