Améliorer la gestion énergétique des bâtiments est un enjeu majeur pour les entreprises et les collectivités. Pourtant, malgré une prise de conscience croissante, de nombreuses erreurs énergétiques persistent. Que ce soit à cause d’idées reçues, d’un manque de moyens ou d’une mauvaise planification, ces erreurs énergétiques peuvent coûter cher.

Découvrez les cinq erreurs les plus courantes dans la gestion énergétique des bâtiments, et comment les éviter pour réussir vos démarches énergétiques et votre transition énergétique.

 

Version ENEN

Top 5 des erreurs en gestion énergétique des bâtiments

Penser que quelques gestes suffisent

Beaucoup pensent que réduire la consommation d’énergie passe uniquement par des petits gestes quotidiens : éteindre les lumières, baisser le chauffage, débrancher les appareils. Si ces actions sont nécessaires, elles ne suffisent pas à répondre aux enjeux actuels liés à l’énergie et à l’exigence croissante d’efficacité.

La gestion de l’énergie est bien plus complexe et évolutive. Elle nécessite des outils adaptés, capables de mesurer, analyser et piloter les flux d’énergie en temps réel, pour viser une efficacité optimale.

Pour éviter cette erreur, il est indispensable d’investir dans des solutions, qui offrent une visibilité sur la consommation d’énergie et permettent des ajustements précis. Chez Nexelec, nos capteurs mesurent en continu les niveaux de CO₂, d’humidité ou de particules fines, pour optimiser la ventilation, améliorer le confort et garantir une meilleure efficacité énergétique, tout en réduisant les coûts liés à l’énergie. 

 

 

 

Ne rien faire par manque de budget

 

Le frein budgétaire est souvent avancé pour justifier l’inaction. Pourtant, ne pas agir coûte cher sur le long terme, entre factures énergétiques élevées, inconfort et non-conformité aux réglementations en vigueur, en particulier dans un secteur en constante évolution.

Heureusement, des aides publiques, des subventions et des solutions de financement existent pour accompagner les projets d’efficacité énergétique, quel que soit le secteur concerné. Que l’on parle du secteur tertiaire, résidentiel ou industriel, des dispositifs spécifiques sont accessibles pour soutenir les démarches de transition.

Conseil : Ne laissez pas le budget être un obstacle. Faites appel à des experts connaissant bien le secteur pour identifier les aides disponibles et construire un plan d’investissement adapté. La maîtrise des coûts passe aussi par un déploiement progressif, en privilégiant les actions à fort retour sur investissement.


 

 

Vouloir aller trop vite

 

La gestion énergétique ne se résume pas à déployer rapidement des équipements. Chaque bâtiment est unique, et la mise en place d’une stratégie efficace demande du temps, de l’analyse, des travaux préparatoires et des étapes successives.

Se précipiter peut conduire à des choix inadaptés, des surcoûts, des travaux mal planifiés ou des systèmes mal intégrés, compromettant ainsi les objectifs initiaux de la rénovation.

Pour éviter ce piège, il faut d’abord réaliser un diagnostic précis, définir des objectifs clairs, puis déployer des solutions de manière progressive. Cette approche permet d’anticiper les travaux nécessaires, de mieux les coordonner et d’optimiser leur impact. Une rénovation bien pensée s’intègre dans une démarche structurée qui garantit une amélioration durable, en assurant la cohérence entre les travaux réalisés, les performances attendues et les objectifs globaux de rénovation énergétique.

 

 

Ne pas respecter les réglementations en vigueur


La législation autour de la performance énergétique des bâtiments est de plus en plus stricte. Beaucoup négligent cet aspect, pensant qu’un simple ajustement ponctuel suffit, sans considérer les spécificités de chaque bâtiment ni les exigences propres à chaque projet.

Or, les normes évoluent rapidement, notamment avec les exigences liées à la qualité de l’air intérieur et à la réduction des émissions de gaz à effet de serre. Chaque bâtiment doit désormais répondre à des critères précis, qu’il s’agisse de rénovation, de construction neuve ou d’amélioration de l’existant, selon les objectifs du projet engagé.

La bonne pratique consiste à s’assurer que chaque étape du projet est conforme aux réglementations en vigueur, en se tenant informé des évolutions propres à chaque type de bâtiment. Cela évite des sanctions, garantit une image responsable et valorise durablement le bâtiment concerné, tout en assurant la cohérence globale du projet.

 

 

 

Ne pas utiliser des solutions adaptées comme les capteurs Nexelec

 

Sans données précises et en temps réel, piloter efficacement la gestion énergétique est quasi impossible. Beaucoup de professionnels négligent l’importance d’installer des capteurs performants.

Les solutions Nexelec permettent de mesurer en continu la qualité de l’air (CO₂, humidité, particules fines), offrant aux professionnels la possibilité d’ajuster la ventilation et les systèmes techniques selon les besoins réels.

En intégrant ces capteurs, vous ne faites pas que réduire vos consommations : vous améliorez aussi le confort et la santé des occupants, un critère clé pour la réussite de vos projets, notamment pour les professionnels engagés dans une démarche durable.

S'inscrire à la newsletter